Comme un saut, dans l’émoi,
Comme un vol vers l’éternité
Faire un saut, dans notre odyssée
Faire le saut toi et moi,
Vers ce qui nous f’ra vibrer,
On s’ra plus jamais seul en duo
Et si l’on fuit comme deux ados
Si loin d’ici, ça le vaut
Et tu sais, comme je sais,
Qu’on ne s’ra plus jamais seul comme on l’était
Là où on ira, enlacés, le vent dans le dos !
De Milan à Roma
Et bien d’autres villes à traverser
On y sera bientôt
À moto, toi et moi,
On pourra peut-être plus le faire de sitôt
Souvent la vie dit non
Et si l’on fuit comme deux ados
Si loin d’ici, ça le vaut
A Athènes, allez
On ne saura jamais mieux qu’après l’envol,
Là où on ira, enlacés, le vent dans le dos !
On ne saura jamais mieux qu’après l’envol, là où on ira
Enlacés le vent dans le dos !
Comme un saut dans l’émoi
Comme un vol vers l’éternité
Faire un saut, dans notre odyssée
Faire le saut, toi et moi
Vers ce qui nous f’ra penser qu’on s’ra plus jamais seul
Plus jamais seul, Plus jamais seul
Toi si tu m’entends, dans un espace différent,
Comprends qu’il faille maintenant, tout nous avouer
Que de la première étincelle, jusqu’au tout dernier des pixels
On ne sait toujours pas où l’on va et qui l’on est
Si tu donnes le droit d’être là
Est-ce-que-ça donne le droit à un au-delà ?
Toi si tu m’écoute, voudrais-tu dissiper un doute
Dans ta promesse, y a-t-il plus fort que l’amour ?
Il y a des mirages et des plaisirs, des avantages qui nous attirent
Mais pas le soupçon d’un avenir fait de meilleurs jours !
Si tu nous donnes le droit d’être là
Est-ce-que-ça donne le droit à un au-delà ?
Autre qu’ici bas…
Toi si tu entends les âmes dignes et vaillantes,
Que tu lanças il y a longtemps dans l’expérience
Si elles l’adressent une prière, qui n’est plus vraiment le « Notre Père »
C’est qu’il y a même des limites à la croyance
Si elles ne se donnent plus qu’autrefois
Si elles ne se donnent même plus la foi
Si tu n’existais pas ?
Si tu nous donnes le droit d’être là,
Est-ce-que ça donne le droit à un au delà ?
Est-ce-que ça donne le droit à un au delà?
Fais alors qu’on y croit !
Je dévore, je m’améliore,
Tout s’agite et tout change, autour de moi
T’étais si différente, y a pas si longtemps de çà,
Tu attires et enchante, on te reconnaît pas
I’ve got the same needs, the same wounds,
I have to cure it, on my own,
I need affection and smiles
Affection of a smile
Ensemble, tout va tout va pour le mieux,
On se ressemble, on a de la force à deux !
On s’assemble, on fait tout ce, tout ce qu’on veut
A nous deux, on en a fait un jeu ! Ensemble
Adlibidum, au maximum, que va me faire vivre ce jour qui naît ?
Un amant, un ami pour te donner de la tendresse,
ou un volcan d’amour qui jaillirait !
I’ve got the same needs, the same wounds,
I have to cure it, on my own,
I need affection and smiles
Affection of a smile
Ensemble, tout va tout va pour le mieux,
On se ressemble, on a de la force à deux !
On s’assemble, on fait tout ce, tout ce qu’on veut
A nous deux, on en a fait un jeu ! Ensemble
I’ve got the same needs, the same wounds,
I have to cure it, on my own,
I need affection and smiles
Affection of a smile
Laisser à la providence, convoiter le tout bonheur
En nous cachant fuyant nos peurs.
Ne soigner que les apparences,
En oubliant nos plus grands tords, en s’allant vers moins d’efforts
On naît, ces anges imbéciles qui croient la terre fragile, qui survivra ?
Elle, si l’on peut vivre sans les baleines, elle saura vivre sans nos haines !
Elle, On brûle ses paysages, juste le temps d’un passage, elle….
Elle se moque de notre monde, elle a survécu au temps,
Peut-être Dieu qui est vivant ?
Et puis quand tout sera fini,
Quand on aura usé nos chances,
Elle fera fi de notre absence
Mais c’est, c’est une erreur facile,
De croire que tout est fossile, Qui survivra ?
Elle, si l’on peut vivre sans les baleines,
Elle saura vivre sans nos haines
Terre, elle, on brûle ses paysages juste l’histoire d’un passage Terre……
Elle se moque de notre monde, elle a survécu au temps,
On n’est pas Dieu heureusement.
On est, on est ces gens imbéciles,
On est les êtres fragiles qui survivra ?
Elle, si l’on veut vivre sans les baleines
Elle pourra vivre sans nos haines
Elle, terre, on brûle ses paysages juste l’histoire d’un passage,
Elle……
Nous naissons dans un berceau qu’on ne choisit pas
Et parfois entre certains, l’envie n’existait pas.
Il y avait dans nos idéaux, ce qui nous destinait que trop
Ce qu’il y a de fragile et de beau !
De son ruisseau, on crée son propre radeau
Fait de badots ou de joyaux !
On s’accroche à des bras, ceux que je vois ici, encore pour moi
Ceux qui amènent leurs pierres
Sans jamais demander sans dire le mal et sans un mot,
Il est à vous mon univers où l’unique intérêt
Est de bâtir ensemble et partager
C’est être puissant, de vous savoir présents
Sur mon radeau ou mon bateau
Je vous dois d’être ici, merci d’être là
Encore pour moi
C’est avec d’autres cerveaux qu’on gagne les combats
Et grâce à vous, qu’on achète pas
De ce que l’on gagne à ce que l’on vaut
La confusion n’est pas
C’est ce que l’on est qui gagne
Dans tout çà
C’est être puissant
De vous sentir présents
Sur mon radeau ou mon bateau
Je vous dois être ici, merci d’être là !
Ré-embarquer toujours avec un autre amant
Non sûre d’atteindre un jour plus beau voyage
Mais laissant sur le quai , laids visages
Et maints dauphins vidés larmoyants
Avoir tari, épuisé, le laves savoureurses
Coulées de sentiments, chaleur au ventre, bonheur de l’antre
Et masser tendrement la peau de l’épicentre
Pour y calmer les crues des sèves savoureuses
Les envahir, jusqu’à l’essence de leurs corps
En faire des vampires, les mordre et les mordre encore !
Qui saurait vaincre ces remords
Percer les mystères des plus forts
Et ne plus craindre le regard des mauvais sorts ?
Des yeux chimie de couleur libertine
Stratège en un visage pur comme neige !
Un dieu, un idéal une drogue, un piège
Le don d’ensorceler au coeur de la rétine
Offrir sa chair son sang à un charme vaudou
Jouir se sacrifiant en son enceinte
Mais qui fera l’amour dans un labyrinthe ?
Y semera à jamais ses larmes de fou?
Si je n’ai pas ta puissance, je suis femme
J’ai le rythme des sens en mon âme
Je suis curieuse et patience qui te réclame
Qui te réclame un voyage hors du temps
Ou le temps d’un passage brulant
Je l’aime, le souffre et le ressens
Sans savoir ce que c’est vraiment
C’est sur, je l’aime ce sentiment !
J’aimerai moi aussi venir en toi
En toi, comme je peux t’accueillir
Penser des mots et des plaisirs de toi
Vibrer de tout ce que je ne sais pas de toi !
Je suis ce que je pense, je suis femme
Je suis en confiance ou je condamne
J’ai quitté l’adolescence que tu incarnes
Je ne suis pas immense, je suis femme
Je tire ma jouissance de l’âme
De ces moments pour nous seulement
Où l’on peut s’aimer jusqu’au sang
Où ne peut être indécent
J’aimerai moi aussi venir en toi
En toi, comme je peux t’accueillir
Penser des mots et des plaisirs de toi
Vibrer de tout ce que je ne sais pas de toi !
De tout ce que j’aimerai savoir de toi
C’est ce mystère, une atmosphère
Que toi seul ne connaîtra
J’avoue, que j’aimerai au moins vivre ça
Je veux tes secrets….
J’aimerai moi aussi venir en toi
En toi, comme je peux t’accueillir
Penser des mots et des plaisirs de toi
Vibrer de tout ce que je ne sais pas de toi !
Tu restes dans ton silence
Comme si t’avais tout oublier
Pourquoi je vivrai sans mémoire, ni pensée à toi
On ne s’est que trop maudit, on s’est fourvoyé qui sait ?
Pourquoi donnas-tu fin à notre amitié ?
Tu me parles en absence, dans mes songes et mes pensées
Tu dis toute l’indifférence qui fait si mal à chanter !
Oh non ! Au nom de quelle raison ?
Au nom de qui ? Et surtout pourquoi ?
Soudain on me sollicite et puis-je me fais un nom
Ais-je été trop honorée ?
Ça, ça ne t’allais pas
Mais dans toute cette histoire, je n’ai pas changé loin de là
Je n’ai jamais de regret et je suis fière de moi
Mais si on avait parlé plus tôt ?
Parler pour qui ? Pourquoi ?
On ne quitte pas les gens qu’on aime
Quelque soit leur vie, quelque soit leur choix
S’il y a des différences, il y en a dans tous les cas,
On se doit de concéder ce qui ne vient pas de soi
Et exprimer ce que l’on pense enfuit en nous parfois
Pour faire que l’intolérance ne nous brise pas !
Mais, si on avait parlé plus tôt
Parler pour qui ? Pourquoi ?
On ne quitte pas les gens qu’on aime
Quelque soit leur vie, quelque soit leur choix
On ne quitte pas les gens qu’on aime
Si on en a envie, tout recommencera !